Le harcèlement peut prendre différentes formes. Face au cyberharcèlement, il n’y a pas de fatalité. Des solutions existent. Selon un sondage publié le 8 novembre par l’association e-Enfance avec la Caisse d’épargne, 60 % des 18-25 ans ont déjà été cyberharcelés, dont 49 % ont pensé au suicide. La crise sanitaire a été un accélérateur de nombreuses pratiques, parmi lesquelles l’usage du numérique et des réseaux sociaux: 90 % d’entre eux estiment que leur temps passé sur internet et les réseaux sociaux a augmenté, dont 59 % «beaucoup plus».
Les jeunes déclarent désormais avoir en moyenne un compte sur 8 réseaux sociaux différents et ils sont 68 % à être actifs sur les sites de jeux en ligne où le cyberharcèlement sévit aussi.
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